Gyné
En me levant ce matin, je trouve sur le fauteuil de notre chambre, une robe noire et deux paires de bas noirs (Normal ! Toujours une de rechange, si la première venait à être abîmée)
Une soumise se doit d'être toujours parfaite. Je prends ma douche avec le cerveau en fusion, je me pose des questions. Je sais que je ne devrais pas mais mon imagination travaille sur une multitude de scénarios possibles. Peut-être qu’il n’a rien prévu et que mon Maître veut juste faire monter la pression.
Ce jour-là, mon seigneur et maître avait pris rendez-vous avec un peintre photographe pour le début de l'après-midi. Nous voilà partis en direction de Somme, moi habillée d'une robe qui ne cachait pas grand-chose et des bas comme simple sous-vêtements, avec mon collier de soumise. Sur l'autoroute au péage il y avait des gendarmes dont une femme qui m'a regardée avec insistance, J’essayais de suivre le cheminement de ses pensées, je ne sais pas si c'était de la compréhension, du désir où de l'envie, tout ce dont j'étais sûre c'est que je ne lui aurais pas donné ma place. Je suis très fière d'être là soumise de mon maître.
L'après-midi fut très riche en émotions et sensations, je me retrouve chez M. Debray, nue avec comme toute vêture mes bas et mon collier. Me voilà sous les ordres de ce monsieur que je ne connaissais pas le matin même, à prendre des poses suggestives de femme impudique et, sous le regard de cet homme qui me mitraille de son appareil photo.
Il commente mon corps, mes courbes généreuses comme si je n'étais pas là. Je n'étais plus qu'un objet prêté pour une séance photo. Ce fut un après-midi magique. Le photographe qui me prend en photo, mon seigneur et maître qui nous photographie, moi qui prends des poses de plus en plus érotiques et impudiques.
On pouvait sentir le désir des uns et des autres, le plaisir qui monte en moi qui me donne envie d'être encore plus impudique. Je n'ai qu'une envie, c’est de fouiller mon sexe avec mes doigts, de me caresser devant ces deux hommes qui me regardent et prennent des photos de moi. Je veux faire sortir la chienne que je suis, me masturber devant eux, fouiller mon intimité, mais mon maître en avait décidé autrement, aucune autorisation ne sortit de ses lèvres.
Nous sommes repartis, moi avec mon envie qui ne me quitte pas au cours des 72 heures qui ont suivi cet après-midi magique.
Je remercie M. Debray et son épouse pour l'accueil chaleureux et de la bonté d’âme dont ils ont fait preuve à notre égard.
Je vous remercie mon seigneur et maître du magnifique cadeau que vous m'avez fait ce jour-là : je me suis sentie belle est désirable en cet après-midi très spéciale.
JELANA