Textes au féminin illustrés par Michel
Debray
Novembre 2024 | ||||||||||
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NASTASIA
"Suite de mes 13 ans bien et demi tout de même, déjà joli petit cul bombé, des seins qui intéressaient tout le cours et une belle petite paire de jambes dorées dues à ma génétique, éclats de rire !!
J'adorais perturber le cours en portant de mignonnes petites jupes courtes qui ne m'empêchaient pas de me baisser. Alors quand les révisions arrivaient j'avais de la demande pour m'aider et je me suis retrouvée à réviser ainsi chez un ami de 15 ans, le bon redoublant que tous aimaient pour son style baba-cool.
Nous avons mal travaillé car son frère aîné, très vieux (19 ans) et qui pourtant ne partageait pas sa chambre ne faisait que des allées et venues, plongeant sur le lit pour nous observer, m'observer, dirai-je !
J'étais troublée car il représentait l'homme et quand le cours fini, nous nous sommes assis tous les trois sur le lit pour boire un coca, je me sentais bizarre, mes mains tremblaient quand j'ai pris la bouteille de ses mains, il a ri et m'a caressé la cuisse distraitement, j'ai frissonné et il l'a souligné en plongeant ses yeux dans les miens!!
Sa main est montée sur mon ventre, ma respiration s'accélérait pendant que son frère observait et se rapprochait, ses doigts caressaient mes seins et tous les deux se mélangeaient les mains comme des chatons curieux. Nue jusqu'à la taille, j'exhibais fièrement mes seins durs et tendus de jeune fille, mes cuisses écartées à leur vue et le plus âgé attaquait ma culotte avec énergie, je protestais un peu, gênée du regard de mon ami de cours mais la caresse de la bouche sur ma culotte me fit renoncer à toute fierté !
J'aidais même à la jeter plus loin !
Étendue sur le lit, ne portant que ma jupe retroussée, les deux frères me découvrirent deux membres qui me semblèrent énormes, il paraît que j'ai ri, mais c'était parce que je n'en avais jamais vu de si près, je les touchais à tour de rôle, c'était doux, lisse, dur et l'aîné la posa délicatement sur le bord de ma bouche, je ris encore, mais je la goûtais comme on goûte un fruit nouveau, il fermait les yeux pendant que son frère mettait sa langue sur ma fente brûlante, je lâchais prise et poussait un cri de surprise, il m'enfonça encore plus sa queue dure et lentement,, je le suçais d'abord avec curiosité accélérant mon de léchage au rythme de la bouche qui me dévorait en bas, la chambre était remplie de gémissements et de petits cris, c'était irréel, je fus surprise par le jet doux et chaud qui afflua d'un seul coup dans ma gorge. D'abord étouffée, j'avalais doucement ce qui me sembla légèrement un liquide légèrement sucré, et le plus jeune éclata de rire en me voyant relever la tête et laper sur le coin de ma lèvre la dernière goutte !
J'allais me relever quand les garçons d'un commun accord m'allongèrent sur le ventre, je riais car leur bouche mordait mes fesses dodues, je me tortillais en ne pensant pas au spectacle que j'offrais à demi nue, leurs mains, leur bouche, leurs doigts, je ne savais plus ou j'étais, ma jouissance les surprit, un spasme qui me fit me cambrer et mouiller le lit ! La langue du plus jeune fouillait mes fesses écartées et pénétrait l'endroit interdit !
Il allait et venait doucement au fond de mon anus, caressant d'un doigt mon clitoris douloureux de jouissance !
Quand il comprit que j'étais prête à exploser, il s'enfonça d'un seul coup entre mes fesses, je criais, surprise et essayait de me dégager, son frère m'embrassait pour me calmer, et le mouvement lancinant éveilla en moi des sensations diffuses, résonnant jusqu'au fond du ventre et déclenchant une jouissance étrange, puissante, animale, je griffais le frère aîné accroché à ma bouche et mes hanches suivaient la violence du second qui s'écroula sur moi en hurlant son plaisir !
Cette journée de révision m'avait beaucoup appris, j'avais enrichi mes nuits de futurs fantasmes dont je connaissais les visages, inutile de raconter la suite car je suis restée très amie avec les deux !"
Texte et photo de Nastasia
"J'ai eu trois souvenirs celui de mes huit ans, de mes treize ans et celui de mes seize ans, passons à celui de huit ans sur la plage de C*** sur l'île d'Oléron.
Petite poupée bouclée, je riais de tout avec les gens allongés sur le sable, homme et femme peu importe et lui, il m'énervait, je l’aimais bien car il m'appelait dès qu'il me voyait et me donnait de l'importance, ses deux femmes me souriaient et je les détestais, étrange que ce sentiment dans une tête de huit ans, parfois nous chahutions et il me saisissait, m'asseyant sur lui et parfois je sentais une grosseur sous mes fesses mais je ne comprenais pas. Un jour je buvais une orangeade assise sur lui quand il est devenu rouge et soufflant, il me frottait contre lui dans un mouvement de va et vient, ses mains pétrissaient mes cuisses jusqu'à un grand soubresaut final qui l 'a laissé silencieux et brûlant !
Je ne l'ai pas revu cette semaine là mais la semaine d'après, il était là, blotti dans un recoin de sable au bas d'une butte seul, il lisait, il eut un vrai sursaut quand il me vit mais balança le livre au loin pour me tendre sa main et me parla doucement de moi, me posant plein de questions tout en posant ses mains sur ma poitrine naissante, la chaleur m'envahit, mais pas de honte, la curiosité surtout, son pied frottait entre mes jambes m'obligeant à subir une sensation proche du vomissement, quelque chose montait jusqu'à l'éblouissement, je tombais à la renverse comme si je me noyais, une décharge électrique, un spasme violent, je le regardais me posant des questions et gardant sa main sur ma bouche !
Je le laissais me déshabiller et me prendre contre lui, sa main pénétrait mes cuisses m'écartait et me caressait, ses paroles étaient douces et j'avais envie encore de cette secousse, je lui ai dit et il m'a embrassé doucement, ma petite langue immobile sur la sienne gourmande, il m'a allongée et a mis sa bouche sur mon sexe humide et m'a léchée comme un petit chien, j'ai crié de surprise, chatouillée surtout, son doigt tout doux pénétrait mon petit cul et j'ai senti la même émotion revenir, je ne pensais plus à rien, qu'à ça, retrouver ce moment électrique, j'ai crié mon plaisir et il m'a dit chut mon petit ange et il a recommencé encore et encore jusqu'à ce que ça devienne Douloureux...
Et j'ai su que je reviendrai demain et encore d'autre, c'était notre secret à tous les deux et il ne m'a jamais fait mal !
Nastasia"
"Ce matin encore…
J'adore ces matins où je m'éveille emboîtée contre lui, je sens sa queue durcir à l'aube qui s'éveille ! Il soupire, caresse mes fesses et se rendort rassuré.
Il sommeille, je me glisse entre ses jambes, humant les parfums de son corps et de la belle bête qui repose sur son ventre, ses cuisses sont lisses, je pose ma bouche sur ses couilles douces, descend aubord de son anus, il gémit de plaisir, ma langue s'enfonce et le viole amoureusement, je la remplace par mon doigt humide qui titille l'intérieur de son cul massant cette petite boule de jouissance au fond de lui !
Comme j'aime attraper ses fesses cambrées !
Ma bouche engloutit son sexe tendu, je le happe, je le lape, je l'aspire, je le lèche, je le suce, je le mange, le dévore, le grignote, je deviens ventouse, vampire, aspirateur, je l'avale jusqu'au jet chaud qui remplit ma gorge avide et gourmande, ma bouche déraisonnable avide de lui et de ses jouissances !
Mes cheveux fous dans ses mains, ma nuque sur sa cuisse, il me crie qu'il m'aime et qu'il aime mes réveils !
Texte : Nastasia
"Il a senti mon trouble d'écrire ces résumés de ma vie, ces trois moments principaux et son regard ne me quittaient pas, il m'a pris contre le sol écartant ma culotte d'un seul coup, s'enfonçant sans ménagement et me traitant de tous les noms !
Il parlait de me tuer d'amour, de me faire jouir plus que tout au monde, son sexe me labourait le ventre, il s'est relevé me laissant là, culotte sur les cuisses et les fesses brûlantes de son attaque ! j'ai voulu me lever mais il est revenu un objet à la main, douce imitation d'un phallus en bois sculpté :
- Suce-le ! m'a-t-il dit.
Je me suis exécutée, une fois bien mouillée, il me l'a glissée dans ma chatte humide et m'a retournée pour s'enfoncer dans mon anus, ses doigts caressait mon clito enflé!
- Tu pourras raconter cette double pénétration, me dit-il en me promettent de me faire jouir jusqu'au fond de mon ventre, la douleur mêlée au plaisir me faisait hurler si fort qu'il éjacula en deux secondes me laissant affamée, ses doigts et les miens se mélangeaient sur mon bouton tendu, je le voulais encore et encore, et j'ai coulé sur ses doigts pendant de longues secondes qui secouaient mon corps devant ses yeux ravis !
Nastasia
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