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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 14:53

 

Jelana

 

 

En me levant ce matin, je trouve sur le fauteuil de notre chambre, une robe noire et  deux paires de bas noirs (Normal ! Toujours une de rechange, si la première venait à être abîmée)

Une soumise se doit d'être toujours parfaite. Je prends ma douche avec le cerveau en fusion, je me pose des questions. Je sais que je ne devrais pas mais mon imagination travaille sur une multitude de scénarios possibles. Peut-être qu’il n’a rien prévu et que mon Maître veut juste faire monter la pression.

Ce jour-là,  mon seigneur et maître avait pris rendez-vous avec un peintre photographe pour le début de l'après-midi. Nous voilà partis en direction de Somme, moi habillée d'une robe qui ne cachait pas grand-chose et des bas comme simple sous-vêtements, avec mon collier de soumise. Sur l'autoroute au péage il y avait des gendarmes dont une femme qui m'a regardée avec insistance, J’essayais de suivre le cheminement de ses pensées, je ne sais pas si c'était de la compréhension, du désir où de l'envie, tout ce dont j'étais sûre c'est que je ne lui aurais pas donné ma place. Je suis très fière d'être là soumise de mon maître.

L'après-midi fut très riche en émotions et sensations, je me retrouve chez M. Debray, nue avec comme toute vêture mes bas et mon collier. Me voilà sous les ordres de ce monsieur que je ne connaissais pas le matin même, à prendre des poses suggestives de femme impudique et, sous le regard de cet homme qui me mitraille de son appareil photo.

Il commente mon corps, mes courbes généreuses comme si je n'étais pas là. Je n'étais plus qu'un objet prêté pour une séance photo. Ce fut un après-midi magique. Le photographe qui me prend en photo, mon seigneur et maître qui nous photographie, moi qui prends des poses de plus en plus érotiques et impudiques.

On pouvait sentir le désir des uns et des autres, le plaisir qui monte en moi qui me donne envie d'être encore plus impudique. Je n'ai qu'une envie, c’est de fouiller mon sexe avec mes doigts, de me caresser devant ces deux hommes qui me regardent et prennent des photos de moi. Je veux faire sortir la chienne que je suis, me masturber devant eux, fouiller mon intimité, mais mon maître en avait décidé autrement, aucune autorisation ne sortit de ses lèvres.

Nous sommes repartis, moi avec mon envie qui ne me quitte pas au cours des 72 heures qui ont suivi cet après-midi magique.

Je remercie M. Debray et son épouse pour l'accueil chaleureux et de la bonté d’âme dont ils ont fait preuve à notre égard.

Je vous remercie mon seigneur et maître du magnifique cadeau que vous m'avez fait ce jour-là : je me suis sentie belle est désirable en cet après-midi très spéciale.

JELANA

 

Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Sexe Passion
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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 14:50

 

Dentelles

 

DENTELLES

Reçois de moi ces dessous chics

Pour sublimer ton joli corps

Complices de tes nuits féeriques

Pour j’espère, pleins d’années encore.

REFRAIN

Cette dentelle et ces rubans

Blanc virginal ou chocolat

T’envelopperont comme un gant

Telle une déesse, d’un plein éclat.

Cette dentelle et ces rubans

Blanc virginal ou chocolat

T’emporteront vers l’océan

De l’extase et bien au-delà.

 

Quand les amants t’effeuilleront

Qu’ils « attentionnent » tes dessous chics

Car d’un éclair s’apercevront

Que pour l’amour, ils sont magiques

Car d’un éclair s’apercevront

Que pour l’amour, ils sont magiques.

REFRAIN

 

Odile

 

 

Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Poésie Sensuelle
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Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 14:49

 

Daisy

 

 

J'ai toujours eu un faible pour les chemisiers, surtout ceux ayant une certaine classe, une certaine prestance, mais je dois avouer que depuis quelques années mes goûts» ont évolué. 

En effet, quand un ami m'a offert un chemisier en cadeau, et que je l'ai porté, je me suis sentie toute sexy... moulant mes seins, suffisamment transparent pour dévoiler la dentelle de mon soutien-gorge, coquinement échancré pour dévoiler ma poitrine...

 

Tous les messieurs (et leur dame) ne pouvaient pas s'empêcher de me mater...

Depuis, je dois avouer que la majorité des sous-vêtements et vêtements que je porte ont été choisis et offerts par des messieurs (parfois même des inconnus...). Du balconnet, au string ; de la guêpière aux bas ou aux collants ; de la petite jupe fendue, en passant par la petite chaînette, au chemisier glamour ou provocant, j'adore porter les couleurs de mes prétendants et de mes amants.


De couleur ou en dentelle, blanc et échancrés ou en voile transparent, je les aime tous... 

Si vous voulez m'en offrir un, sachez que ma taille (française) est 44... 

Et oui, je fais 100D de tour de poitrine...

 

Daisy

 


Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Arts érotiques
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 17:47

Nastasia.jpg

 

NASTASIA

 

"Suite de mes 13 ans bien et demi tout de même, déjà joli petit cul bombé, des seins qui intéressaient tout le cours et une belle petite paire de jambes dorées dues à ma génétique, éclats de rire !!

J'adorais perturber le cours en portant de mignonnes petites jupes courtes qui ne m'empêchaient pas de me baisser. Alors quand les révisions arrivaient j'avais de la demande pour m'aider et je me suis retrouvée à réviser ainsi chez un ami de 15 ans, le bon redoublant que tous aimaient pour son style baba-cool.

Nous avons mal travaillé car son frère aîné, très vieux (19 ans) et qui pourtant ne partageait pas sa chambre ne faisait que des allées et venues, plongeant sur le lit pour nous observer, m'observer, dirai-je !

J'étais troublée car il représentait l'homme et quand le cours fini, nous nous sommes assis tous les trois sur le lit pour boire un coca, je me sentais bizarre, mes mains tremblaient quand j'ai pris la bouteille de ses mains, il a ri et m'a caressé la cuisse distraitement, j'ai frissonné et il l'a souligné en plongeant ses yeux dans les miens!!

Sa main est montée sur mon ventre, ma respiration s'accélérait pendant que son frère observait et se rapprochait, ses doigts caressaient mes seins et tous les deux se mélangeaient les mains comme des chatons curieux. Nue jusqu'à la taille, j'exhibais fièrement mes seins durs et tendus de jeune fille, mes cuisses écartées à leur vue et le plus âgé attaquait ma culotte avec énergie, je protestais un peu, gênée du regard de mon ami de cours mais la caresse de la bouche sur ma culotte me fit renoncer à toute fierté !

J'aidais même à la jeter plus loin !

Étendue sur le lit, ne portant que ma jupe retroussée, les deux frères me découvrirent deux membres qui me semblèrent énormes, il paraît que j'ai ri, mais c'était parce que je n'en avais jamais vu de si près, je les touchais à tour de rôle, c'était doux, lisse, dur et l'aîné la posa délicatement sur le bord de ma bouche, je ris encore, mais je la goûtais comme on goûte un fruit nouveau, il fermait les yeux pendant que son frère mettait sa langue sur ma fente brûlante, je lâchais prise et poussait un cri de surprise, il m'enfonça encore plus sa queue dure et lentement,, je le suçais d'abord avec curiosité accélérant mon de léchage au rythme de la bouche qui me dévorait en bas, la chambre était remplie de gémissements et de petits cris, c'était irréel, je fus surprise par le jet doux et chaud qui afflua d'un seul coup dans ma gorge. D'abord étouffée, j'avalais doucement ce qui me sembla légèrement un liquide légèrement sucré, et le plus jeune éclata de rire en me voyant relever la tête et laper sur le coin de ma lèvre la dernière goutte !

J'allais me relever quand les garçons d'un commun accord m'allongèrent sur le ventre, je riais car leur bouche mordait mes fesses dodues, je me tortillais en ne pensant pas au spectacle que j'offrais à demi nue, leurs mains, leur bouche, leurs doigts, je ne savais plus ou j'étais, ma jouissance les surprit, un spasme qui me fit me cambrer et mouiller le lit ! La langue du plus jeune fouillait mes fesses écartées et pénétrait l'endroit interdit !

Il allait et venait doucement au fond de mon anus, caressant d'un doigt mon clitoris douloureux de jouissance !

Quand il comprit que j'étais prête à exploser, il s'enfonça d'un seul coup entre mes fesses, je criais, surprise et essayait de me dégager, son frère m'embrassait pour me calmer, et le mouvement lancinant éveilla en moi des sensations diffuses, résonnant jusqu'au fond du ventre et déclenchant une jouissance étrange, puissante, animale, je griffais le frère aîné accroché à ma bouche et mes hanches suivaient la violence du second qui s'écroula sur moi en hurlant son plaisir !

Cette journée de révision m'avait beaucoup appris, j'avais enrichi mes nuits de futurs fantasmes dont je connaissais les visages, inutile de raconter la suite car je suis restée très amie avec les deux !"

 

Texte et photo de Nastasia

 

"J'ai eu trois souvenirs celui de mes huit ans, de mes treize ans et celui de mes seize ans, passons à celui de huit ans sur la plage de C*** sur l'île d'Oléron.

Petite poupée bouclée, je riais de tout avec les gens allongés sur le sable, homme et femme peu importe et lui, il m'énervait, je l’aimais bien car il m'appelait dès qu'il me voyait et me donnait de l'importance, ses deux femmes me souriaient et je les détestais, étrange que ce sentiment dans une tête de huit ans, parfois nous chahutions et il me saisissait, m'asseyant sur lui et parfois je sentais une grosseur sous mes fesses mais je ne comprenais pas. Un jour je buvais une orangeade assise sur lui quand il est devenu rouge et soufflant, il me frottait contre lui dans un mouvement de va et vient, ses mains pétrissaient mes cuisses jusqu'à un grand soubresaut final qui l 'a laissé silencieux et brûlant !

Je ne l'ai pas revu cette semaine là mais la semaine d'après, il était là, blotti dans un recoin de sable au bas d'une butte seul, il lisait, il eut un vrai sursaut quand il me vit mais balança le livre au loin pour me tendre sa main et me parla doucement de moi, me posant plein de questions tout en posant ses mains sur ma poitrine naissante, la chaleur m'envahit, mais pas de honte, la curiosité surtout, son pied frottait entre mes jambes m'obligeant à subir une sensation proche du vomissement, quelque chose montait jusqu'à l'éblouissement, je tombais à la renverse comme si je me noyais, une décharge électrique, un spasme violent, je le regardais me posant des questions et gardant sa main sur ma bouche !

Je le laissais me déshabiller et me prendre contre lui, sa main pénétrait mes cuisses m'écartait et me caressait, ses paroles étaient douces et j'avais envie encore de cette secousse, je lui ai dit et il m'a embrassé doucement, ma petite langue immobile sur la sienne gourmande, il m'a allongée et a mis sa bouche sur mon sexe humide et m'a léchée comme un petit chien, j'ai crié de surprise, chatouillée surtout, son doigt tout doux pénétrait mon petit cul et j'ai senti la même émotion revenir, je ne pensais plus à rien, qu'à ça, retrouver ce moment électrique, j'ai crié mon plaisir et il m'a dit chut mon petit ange et il a recommencé encore et encore jusqu'à ce que ça devienne Douloureux...

Et j'ai su que je reviendrai demain et encore d'autre, c'était notre secret à tous les deux et il ne m'a jamais fait mal !

Nastasia"

 

 

"Ce matin encore…


J'adore ces matins où je m'éveille emboîtée contre lui, je sens sa queue durcir à l'aube qui s'éveille ! Il soupire, caresse mes fesses et se rendort rassuré.

Il sommeille, je me glisse entre ses jambes, humant les parfums de son corps et de la belle bête qui repose sur son ventre, ses cuisses sont lisses, je pose ma bouche sur ses couilles douces, descend aubord de son anus, il gémit de plaisir, ma langue s'enfonce et le viole amoureusement, je la remplace par mon doigt humide qui titille l'intérieur de son cul massant cette petite boule de jouissance au fond de lui !

Comme j'aime attraper ses fesses cambrées !

Ma bouche engloutit son sexe tendu, je le happe, je le lape, je l'aspire, je le lèche, je le suce, je le mange, le dévore, le grignote, je deviens ventouse, vampire, aspirateur, je l'avale jusqu'au jet chaud qui remplit ma gorge avide et gourmande, ma bouche déraisonnable avide de lui et de ses jouissances !

Mes cheveux fous dans ses mains, ma nuque sur sa cuisse, il me crie qu'il m'aime et qu'il aime mes réveils !


 

Texte : Nastasia 
 

 

 

"Il a senti mon trouble d'écrire ces résumés de ma vie, ces trois moments principaux et son regard ne me quittaient pas, il m'a pris contre le sol écartant ma culotte d'un seul coup, s'enfonçant sans ménagement et me traitant de tous les noms !

Il parlait de me tuer d'amour, de me faire jouir plus que tout au monde, son sexe me labourait le ventre, il s'est relevé me laissant là, culotte sur les cuisses et les fesses brûlantes de son attaque ! j'ai voulu me lever mais il est revenu un objet à la main, douce imitation d'un phallus en bois sculpté :

- Suce-le ! m'a-t-il dit.

Je me suis exécutée, une fois bien mouillée, il me l'a glissée dans ma chatte humide et m'a retournée pour s'enfoncer dans mon anus, ses doigts caressait mon clito enflé!

- Tu pourras raconter cette double pénétration, me dit-il en me promettent de me faire jouir jusqu'au fond de mon ventre, la douleur mêlée au plaisir me faisait hurler si fort qu'il éjacula en deux secondes me laissant affamée, ses doigts et les miens se mélangeaient sur mon bouton tendu, je le voulais encore et encore, et j'ai coulé sur ses doigts pendant de longues secondes qui secouaient mon corps devant ses yeux ravis !

Nastasia


Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Sexe Passion
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 15:47

 

 

 

 

ImageCassiopee.jpg

 

 

Mon cher voisin du dessous, j'en conviens : elle porte ses dessous dessus ; mais sous ses dessous, elle est toute nue !

Remarquez, mieux vaut porter ses dessous dessus que trop de dessus sur ses dessous, non ?

Cependant, me direz-vous en me regardant par en-dessous, elle pourrait porter dessous les dentelles qu'elle exhibe dessus... ou bien ne rien porter du tout, ni dessus, ni dessous !

Certes, vous répondrai-je en vous prenant par-dessus la jambe, mais si ses dentelles étaient dessous, nous ne pourrions disserter dessus ; et si elle ne portait rien, ni dessus, ni dessous, elle réclamerait votre pardessus pour se le mettre dessus.

D'ailleurs, ses dessous, coquin, quel joyeux projet vous avez fait dessus, que de les balancer par-dessus votre épaule afin de découvrir, cul par-dessus tête, ce qu'il y a dessous... Avouez !

Haaaaaaa je vous vois d'ici, intrigué par le dessous des cartes, distribuer des dessous de table à grands moulinets fleurant les dessous de bras pour percer les dessous de l'affaire tout en ayant l'air au-dessus de tout cela !

Là-dessus, mon cher, je vous laisse réfléchir dessus ses dessous et je file la rejoindre sur le dessus de lit afin d'avoir sur vous le dessus, expertisant avant vous si ses dessous sortent du dessus du panier et, par-dessus tout, voyant la première s'il y a quelque chose dessus...

Non, dessous...

Enfin, dessous les dessus...

ou l'inverse...

En tous cas, les sens, cette mutine me les a bien mis sens dessus-dessous, j'ai l'intelligence au trente-sixième dessous et tout l'émotion répandue par-dessus !

 

Cassiopée

 

 

http://www.cassiopee.me/


Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Arts érotiques
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