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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 14:46

 

 

imageCharnelle.jpg

 

Ma libido est à fleur de peau, j'ai envie de sexe, j'ai envie de m'offrir !
Alors il fera de moi ce qu'il voudra, mon sexe, mon corps sera à sa disposition et à ceux qu'il aura choisis. J'ai fait ma peste ces derniers temps, caractère de chiotte, je ne me contrôle pas, et après j'ai envie d'être un ange, j'ai envie de l'aimer, j'ai envie d'être aimée.

Mon cycle est dans la période la plus favorable pour accepter une pluralité qui normalement me fait un peu peur, mais comme toute femme, je varie dans mon humeur, et je ne sais pas encore dans quel état d'esprit je serais mercredi, mais tant pis, les défis, je connais, et je les assume, alors mercredi sera fête si cela lui fait plaisir.

Vivement mercredi !!

 

 

J'ai profité du joli cadeau que Pierre a reçu du Lutin des Bois. C'est une personne qui prend plaisir à tourner le bois pour en faire de très jolis godes. Nous vous en avions déjà présentés sur le blog.

Cette fois, il a vu gros pour moi... mais cela m'a donné une grande envie de l'essayer. Un peu honteuse d'avoir des envies de sodomie un peu importante, j'ai demandé à Pierre de me le faire pénétrer.

La largeur de la boule est très vite atteinte, ce qui donne la difficulté, mais il est très doux, très lisse. Pierre n'avait pas fait de préparation spécifique pour le recevoir, mais mon intention d'y arriver et l'excitation engendrée par ce nouveau jouet suffisait.

Quand Pierre l'a présenté à mon anus, j'ai cru que ça allait être facile, mais de suite je l'arrêtais pensant qu'il me fallait un stage de dilatation pour continuer la poussée. C'est à tort d'ailleurs car il fallait au contraire le faire pénétrer d'une seule traite afin de pouvoir profiter aussitôt du rétrécissement de la base de la boule.

Une fois à l'intérieur, c'est formidable, je le sentais m'envahir, chaque mouvement le faisait un peu bouger. Je regrettais presque qu'il y ait l'autre partie (que nous n'avons pas encore testé mais c'est pour bientôt) qui me pendait entre les jambes, car je crois que je l'aurai adopté pour remplacer mon rosebud.

Je crois que je vais réfléchir d'ailleurs pour lui faire une commande dans ce sens : une grosse boule, tenant bien en place, avec juste une petite boule en sortie.

  

 

Sous le flash, j’étais la vedette. Comme j’ai aimé ce moment. Situation nouvelle, même si nous avions déjà fait quelques essais derrière un objectif, c’était cette fois une soirée différente. Par principe, je dis toujours non, par pudeur, par honte, par je ne sais qu’elle principe de mon esprit, je n’arrive pas à m’avouer ce qui peut me faire plaisir et donc, hier soir n’a pas fait exception.     

                                                                                                                          

Le principe de faire des photos, avec un photographe, me plaisait terriblement, et il est vrai que depuis longtemps, je rêvais de photos noir et blanc, non…. Black et blanche….en  couleur ! 

Alors que tu me proposes de faire venir un beau black, je recule, je regarde la photo de son profil sur netéchangiste et je me le refuse, histoire de…                                                                                                                          

                                                                                                                                              

Néanmoins, tu le fais venir, ne lui laissant pas espérer grand chose … photo, et encore, en fonction de… et certainement pas une soirée « cul » comme il pouvait espérer.

 

20h30, tout le monde est là, je suis en petite tenue, pas très fière, mais je jubile comme même, mon coté exhib ressort, je voudrais être tellement belle comme ces filles du net, même si je sais que… 45 ans … on ne fait pas de miracle !

 

Le photographe est formidable, j’adore, il sait exactement ce qu’il veut, comment il me veut, j’ai l’impression qu’il a capté ce que j’aime. Il met en scène mon complice de la soirée, qui ne s’attendait certainement pas à faire tout ce qu’on lui a demandé. Nos peaux se mêlèrent dans les IsO et pixels, nous nous sommes lâchés pour finir par quelques scènes carrément « porno ».

 

J’ai vraiment hâte de voir le résultat, il y aura une diversité énorme dans les photos, du très soft, du cul, du bdsm, du….. massage bien sûr, et plein de sensualité, j’espère.

 

Merci à mon complice de cette soirée, à Pierre bien sur pour m’avoir organisé tout cela, c’est un sourire de plus à notre complicité, à notre symbiose, à notre fusion, et à ce photographe qui, peut-être en fonction de nos disponibilités, me fera des photos de domina en pleine forêt de Fontainebleau … ça vous dit ?

 

Bien évidemment, il faut laisser le temps à ce photographe de mettre en page toutes ces photos, et donc, rien aujourd’hui, mais… dans une 10è de jour, vous serez, je l’espère bien gâtés.

 

Charnelle

 

 

http://masseursensuel.over-blog.com/


 

 

Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Poésie Sensuelle
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 14:31

 

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J’ai été formée très jeune. J’ai eu des seins, des hanches, un cul, pratiquement comme aujourd’hui avec quelques rides en plus. Ma mère était très prude, je la considérais comme une sainte. Mon père au contraire avait une vie dissolue de libertin. En fait, il a quitté la maison très tôt. Il vivait un amour très libre avec celle qui est devenue ma belle-mère qui avait 19 ans de moins que lui. Il n’a, contrairement à certains, jamais tenté d’abuser de moi.


En revanche mon prof de sports lui m’a initiée. Il n’est pas étranger au fait que je sois une salope aujourd’hui. Il s’appelait Sergio. Ce n’est cependant pas lui qui m’a dépucelée car il devait avoir peur des conséquences. C’est un autre mec : Marc qui m’a déflorée et avec qui j’ai vécu – pas en couple – pendant 15 ans. Marc m’a forcée à coucher avec lui à coups de chantage affectif.


J’étais très jeune et lui aussi. J’ai connu des tas de types pendant mon adolescence. Sans doute une cinquantaine jusqu’à 25 ans. Sergio, mon prof de sport d’abord se frottait à moi. Au début il ne sortait pas sa queue, puis il a fini par le faire. Je le caressais, je le suçais. J’aimais ça. J’étais excitée comme une folle. Je n’avait pas peur, juste un peu de honte. Quand j’étais seule, je me masturbais en pensant à ces moments avec Sergio. En fait il m’a baisée quand j’ai eu 18 ans. Tout un été. Je me suis branlée très tôt. Je pensais évidemment à des hommes qui venaient se frotter sur moi pour jouir. J’aimais les voir gicler, j’aimais recevoir leur foutre.


Maintenant mon fantasme quand je me caresse, c’est le bondage. Avec Marc, ça a duré 15 ans. J’étais amoureuse. Mais il y a eu aussi des copains de mon père. Mon père n’était au courant de rien. Il vivait sa vie. J’ai eu plein de mecs mûrs et des plus jeunes aussi. Pendant les vacances et même au lycée. A l’époque on disait qu’il n’y avait que le train qui ne m’était pas passé dessus. Et c’était vrai… Snif…

En fait, je regrette un peu et parfois pas du tout. J’assume davantage aujourd’hui. J’ai connu la notion de faute, de pêché, comme tout le monde. Je suis partie du catéchisme à cause de mes masturbations. Encore une fois à l’époque j’avais un corps de femme. Je n’ai jamais été croyante par contre. J’ai dit à ma mère que je ne croyais ni à son Jésus ni auparavant à son Père Noël ! On ne me le fera pas deux fois ! Je croyais davantage à mon plaisir, et ce, grâce à mon père qui était un jouisseur et qui le disait. Il ne m’avait jamais dit, ce con, qu’il avait quitté ma mère. Un jour je l’ai entendu parler avec un des potes. Ils discutaient des femmes, de façon très crue. Il ignorait que j’étais dans le coin. J’avais onze ans. Je me suis enfuie. C’était trop pour mes petites oreilles. Je pleurais. Il m’a rattrapée et il m’a dit :

« Quand on est grand, on fait ce qu’on veut, tu comprends ? »

Alors, évidemment, j’ai voulu devenir grande !


Marc me prenait quand il était en manque. Ce n’est pas lui qui m’a dévergondée, ce sont les amis de mon père. Notamment un type de 25 ans que je voyais. En fait c’était une relation de ma grand-mère. J’étais belle à croquer, une vraie Lolita. En fait, j’adorais me sentir salope, cela m’enivrait. Mais la Morale, le regard des autres m’ont décapitée ! En même temps, c’est le regard concupiscent, désirant des hommes qui me font exister. J’aimais ça. Il y avait une extrême complicité avec mes partenaires. C’est ce que je continue à ressentir quand je me branle, me défonce, me fouille la chatte devant des mecs qui bandent pour moi et qui s’astiquent le jonc.


J’ai eu la chance aussi de connaître à plusieurs reprises la passion amoureuse. Je vis seule depuis quatre ans. J’en souffre. Je m’exhibe sur MSN depuis novembre 2007. Cela a été comme une révélation pour moi. D’autant que je travaille à temps partiel. J’aime obéir à certains ordres mais il y a des choses extrêmes que je n’accepte pas. Un type un jour m’a demandé de chier dans une assiette et de manger ma merde, là, non !


Je fais là une « confession » demandée avec courtoisie et j’aime ça. J’ai répondu que j’avais des fantasmes inavouables mais qu’est-ce qui est avouable et qu’est-ce qui ne l’est pas ? J’aimerais voir une bite de curé, par exemple… J’ai connu une fois une double pénétration, j’aimerais recommencer. C’est avouable ?


Avec les filles j’ai connu l’amour passionnel et une autre fois un truc sexuel mais rapide. Nous nous sommes caressées. Je ne peux pas mélanger les deux. J’ai aimé l’expérience sensuelle qui était douce, inconnue. J’étais désorientée. Mais je n’ai pas supporté que la fille que j’aimais ne m’admire pas. Quand elle est devenue plus belle que moi, je l’ai haïe. J’ai terriblement souffert. C’était une histoire d’adolescentes. Mais elle m’a résisté. Je ne veux plus la voir.


J’ai besoin d’être admirée. J’ai envie que tu me peignes. J’aime sentir des hommes s’exciter pur moi, qu’ils me désirent. Je veux être à la fois muse, Lolita et salope ! J’espère renouveler l’inspiration d’un peintre comme toi. J’aimerais que tu me peignes en me touchant, en me palpant, en me reniflant, en me baisant. Nous sommes loin l’un de l’autre et en fait, dans la réalité, je n’ose pas. Je n’ose pas être celle que je suis devant ma webcam, protégée en quelque sorte.


Le goût pour l’exhibition, je l’ai vraiment connu vers vingt-cinq ans. Je me laissais frotter dans les fêtes. J’ai été sacrément bizutée aussi. Dans les escaliers du lycée, à la cantine,  j’étais en jean et il y avait deux mecs et deux nanas qui me coinçaient, qui m’insultaient en me tirant les bouts de seins, en me passant la main sur le sexe. J’avais les boules et en même temps ça m’excitait. Ils ont aussi contribué à faire de moi une salope.. Je n’allumais personne mais invariablement, inconsciemment, j’attirais les regards. J’ai commencé petite, en montrant ma culotte. En fait, ça ne m’a jamais passé et en plus, maintenant, je ne mets plus de culotte !


Tu sais comment la muse regarde le peintre ?

Toi tu serais le talent. Moi je serais l’envie, la lame froide. (cf. les Têtes raides)

Je suis allé passer trois mois au Yémen, avec mon copain, étudiant en archi. Nous dessinions. J’avais là aussi besoin d’un guide, d’un mentor. Mais mouais… je ne suis pas très fière des résultats. Je commence à peindre des corps mais c’est dur !

 

Charlotte

 

 

Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Sexe Passion
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 14:17

 

imageEtudiante.jpg

 

 

EAUX

 

Je ne suis pas Laure Manaudou.

 

Mais il y a eu un homme. L’homme. L’homme dominateur, forcément dominateur.

Et puis il y a eu l’eau. Comme le liquide amniotique. Chaude et âcre. L’eau du hammam où l’homme, la première fois, m’a amenée. J’étais vite dénudée. Assise sur une grande serviette de bain. Dans la vapeur moite. Mes pores se sont ouverts. Comme mon sexe. Et l’eau de mon corps s’est répandue dans l’atmosphère torride et brumeuse. Des hommes se sont approchés. Manigances de mon accompagnateur ? Lui, déjà mûr. Il m’avait sinon dépucelée du moins avait-il déchiré l’hymen de ma pudeur. La pudeur. Il m’en avait fait oublier l’existence même.

 

Des pénis érigés m’ont entourée. Tendus. De toutes tailles. Combien ? C’est un vertige. Le mien. Vertige me griffant l’entrejambe, vertige me creusant les reins.

Des mains et des verges m’ont touchée. Mon sexe a coulé. J’ai mêlé dans les tourbillons du bassin mon eau gluante à l’eau parfumée. J’ai cherché les jets bienfaisants sur la surface de ma vulve. Eaux et feux. J’ai joui. Entourée de bites et de mains qui me frôlaient.

 

Plus tard, accroupie, sous la douche. Ils ont déchargé leur sperme sur mes seins, sur mon ventre, sur mon visage aveuglé. Foutres et eaux ruisselaient sur moi. Souillée et lavée dans la même folie. Je pissais de joie. Incrédule et impudique.

Après quoi, mon mentor m’a prise avec sauvagerie. Je n’étais plus qu’un long orgasme.

Avec tendresse, après l’amour, il m’a séchée. J’aurais aimé qu’il me talquât…

 

Étudiante parisienne

Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Amours plurielles
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 14:00

 

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J'ai été dépucelée à 16 ans par mon grand-oncle, âgé alors de 52 ans.

C'est dans une chambre d'hôtel qu'il m'écarta les cuisses et força ma petite chatte pour la première fois.  L'après-midi durant, il remplira mon ventre de sa semence à cinq reprises, dévorant des religieuses à la crème entre chaque assaut.

Depuis ce jour, les « religieuses » ont pour moi une connotation particulière.

 

Plusieurs hommes sont passés dans mon lit depuis, sans qu'aucun ne sache totalement révéler mes tendances libertines,  jusqu'au jour où l'un d'eux su dévoiler la femme sexuelle qui somnolait en moi.

 

J'adore le sexe, l'excitation et la jouissance sous toutes ces formes.  Je m'adonne à tous les plaisirs grâce à cet homme.  « H » est mon amant, mon complice et mon maître. Pour son plaisir, je n'ai aucune limite.

 

J'adore m'exhiber et être exhibée. J'adore ressentir le sexe puissant d'un homme dans ma bouche, offrir mon œillet pour de profondes sodomies. J'adore être soumise aux regards et aux  caresses. Le baiser délicat d'une femme fouillant ma bouche et mon intimité m'enflamme tout autant. J'adore le plaisir pluriel et intense sous toutes ses formes.

 

Mon blog n'est qu'une partie de moi. J'espère que vous prendrez plaisir à me parcourir.

N'hésitez pas à me soumettre à vos fantasmes.

Si « H » y consent, je les réaliserai avec une extrême excitation et un plaisir certain. 

                                                                     

Chandelle

 

http://chandelle.blog4ever.com/blog/index-266208.html


Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : sex masculin/ feminin
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 13:49

 

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Nous avons fait connaissance sur un site il y a deux ans. Nous nous étions perdus de vue… Il y a un mois il m’a retrouvée sur ce même site et nous avons continué à parler comme si cette séparation n’avait jamais eu lieu.

A l’époque déjà nous avions très envie l’un de l’autre...

Nous parlions de nous de nos fantasmes de tout ce qui a rapport au sexe. Il y a deux semaines, il est venu me voir chez moi en Lorraine, lui venait de Paris. Je suis sortie de mon magasin, je ne l’attendais pas si tôt.

Pourtant, il était là, à me regarder, j ai avancé vers lui avec la peur de ne pas lui plaire mais finalement il m’a prise dans ses bras, m’a embrassée… le désir est monté si vite en moi, je sentait son sexe dur collé tout contre moi....et là j’ai compris que je lui plaisais…


Nous sommes entrés chez moi avec cette envie, ce désir qui ne faisait qu’augmenter mais nous avons dû attendre le soir pour pouvoir enfin nous retrouver.


Nous sommes aller nous coucher et c’est là que tout a commencé : ses caresses, ses mains sur mon corps, sa langue parcourant chaque centimètre de ma chair me rendaient folle, folle au point de vouloir prendre son sexe dans ma bouche et de ne plus arrêter de le sucer…
J’ai aimé, j’ai adoré la douceur de sa queue que je ne pouvais presque plus lâcher…
Je me suis allongée sur le dos, il a commencé à me caresser, à me mettre un doigt puis deux, puis il s’est mis à fouiller en moi au plus profond de moi avec sa main. Il me fistait… J’étais délicieusement écartelée…


C’était tellement fort et intense j’ai même commencer à pleurer.


Je ne savais pas ce qui m’arrivait et c’est à ce moment la que j’ai compris qu’il était très dominateur.

J’ai adoré me faire dominer ainsi mais ce qu’il ne savait pas c’est que j’adore aussi dominer et bizarrement il s’est laisser faire.

J’ai commencé à lui donner des ordres.
Je lui ai dit de se mettre a genoux par terre devant moi, je me suis mise assise sur le rebord du lit et lui ai ordonné de me lécher.
- Oui maitresse, a-t-il répondu.

Je lui ai demandé ce qu’il aimerait et il m’a répondu d’une petite voix qu’il aimerait se faire sodomiser mais qu’il ne l’avait jamais pratiqué.

Je lui ai donc ordonné de se mettre à quatre pattes sur le lit, j’ai enfilé mon gode-ceinture et là je l’ai pénétré doucement.

J’ai adoré ça, cela m’a même fait jouir car le gode ceinture à deux bouts, l’un était pour son cul, l’autre était dans ma chatte.

Je lui avait aussi glissé ma langue sur son petit trou et même craché dessus pour le préparer à l’enculade.

Je lui ai dit qu’il était ma salope, ma chienne, ma pute et lui il n’arrêtait pas de répéter 
- Oui, oui, maîtresse !

Je me sentais très salope oui, mais avec aussi le plaisir immense de me sentir comme un homme.

Tous les soirs de la semaine ce fut ainsi : il me dominait mais j’arrivais à retourner la situation très vite.

Je n’oublierai jamais son regard au moment où moi je commençais à le dominer, il baissait même les yeux, il disait que mon regard le perturbait.

Dans la journée il essayait de me dominer du regard mais dès que je le fixais, c est lui qui détournait la tète. Il m’a dit qu’il n avait jamais connu sa

Nous avons évoqué aussi le fait que je lui urine dessus mais nous ne l’avons pas fait.



Texte écrit par Assunta, avec l’aide de MD…

 

 

 

 


 

Par Charlotte et Michel - Publié dans : Textes de femmes - Communauté : Sexe Passion
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