Le jour se lève... Un rayon de soleil vient caresser la croupe de Niche qui dort au pied du lit de son Maître sur un petit matelas car son âge et sa constitution ne supportent plus un sol trop dur.
L'astre solaire lui fait un doux clin d’œil qui l'aveugle un peu.
C'est l'heure, Niche, de commencer ta journée. Vite, elle se dresse sur ses membres, le réveil du Maître doit être réussi, sinon il sera de mauvais poil toute la journée et c'est qu'il n'aime pas
les poils ce Maître P.
Le Maître s'éveille doucement, il s'étire et file à la cuisine préparer le petit déjeuner... du café, du pain grillé et un peu de beurre salé, le tout disposé sur un plateau il retourne à la chambre... Elle observe son maître, il a l'air satisfait et lui montre en lui caressant la tête. Elle est une bonne chienne ainsi à quatre pattes à le regarder.
Il lui tend un peu de café.
Bois ma chienne, mais surtout ne touche pas au bol... elle lape le breuvage. Il l'aide en inclinant un peu sa gamelle. Merci Maître.
Le Maître a fini de déjeuner, il débarrasse le plateau pendant que la petite chienne poursuit son repos. Elle finit par se décider à bouger, quitte son matelas et va et vient dans la pièce pour se dégourdir les pattes. Son Maître la siffle c'est l'heure du bain, elle saute dans la baignoire, il la nettoie énergiquement, et la rince avec la pomme de douche. Elle aime l'eau et cela lui va bien. Stimulée par le clapotis, elle en profite pour uriner sans complexe. Il est quitte pour la rincer de nouveau après lui avoir mis une tape sur l'arrière-train. Il lui dit de sortir de la baignoire et la sèche avec une grande serviette. Elle est libre de se promener dans la maison.
Niche !!! Son Maître l'appelle à nouveau, elle se hâte pour répondre à sa demande. Viens ma chienne, viens à mes pieds... Il lui passe le collier qu'il affectionne et lui attache la laisse au cou. Il la guide à nouveau vers la chambre à quatre pattes. Son Maître l'attache avec la chaîne aux montants du lit.
Il passe à la salle de bain. Il s'habille et sort sans faire plus de cas d'elle. Elle se met en position de sphinx et pose sa tête sur ses pattes avant, et profite de l'aubaine pour dormir
encore.
Monsieur P. son Maître incontesté la dresse de la bonne façon, elle est une chienne docile... elle s'efforce de le satisfaire même si parfois elle ne tient pas en place, il sait la recadrer avec les moyens adéquats.
Toute la matinée se passe ainsi, le soleil est un bon compagnon, il glisse sur son corps et la réchauffe comme une main dans un gant de velours. Elle est tranquille, rêveuse, alanguie, détendue.
Du bruit, Maître P. est de retour. Elle tend l'oreille et se redresse sur ses pattes, elle espère qu'il va venir la détacher. Elle est faite pour le suivre, marcher à ses côtés et se mettre à ses pieds en attendant sa caresse amicale s'il est satisfait ou la punition si elle lui a manqué. Mais non, elle entend qu'il s'affaire en cuisine, visiblement il prépare son déjeuner. Elle se repositionne en sphinx.
Le voici qui s'approche, il entre dans la pièce.
Il la détache et la dirige vers le salon. La conduit vers les toilettes. Elle doit uriner avant le déjeuner. Elle grimpe sur le siège percé et se soulage tout en regardant son Maître. La laisse est tendue à nouveau, il l'entraîne vers le salon, c'est qu'il a faim et qu'il est temps de se restaurer. Il la fait mettre en arrêt et lui intime l'ordre de ne pas bouger. Reste bien stable et ne bouge pas. Il installe son assiette et son verre sur son échine, si tu renverses un peu tu seras punie.
Elle se tend, essaie de trouver l'horizontal parfait. Pas si facile quand on a des formes ! L'avantage c'est qu'il y a de la surface pour poser les instruments. Elle tente de garder la pause,
mais c'est un peu douloureux, elle remue pour se dégourdir les pattes et patatras !!!! le verre d'eau, par terre !
Niche !
Elle le regarde d'un air de chien battu.
Je t'avais prévenue ! Ce n'est pas un peu que tu as versé mais un verre tout entier !
Et Maître P de retirer l'assiette du dos de l'animal. La cravache était à portée de main, Maître P la fait jouer sur la paume de sa main, cela promet une bonne série. Un petit tour de chauffe
pour faire rosir l'arrière-train de Niche et voilà que les choses sérieuses commencent. Il faut qu'elle aboie au rythme de la cravache. Il commence 5 sur une fesse, puis 5 autres... C'est
une vraie punition, elle essaie de le supporter mais ne peut s'empêcher de courber l’échine pour tenter d'échapper à la douleur. Rien n'y fait, elle subit la série entière et remercie son Maître
du châtiment qu'il vient de lui faire administrer en lui léchant les pieds.
Maître P n'a plus faim maintenant, mais il va donner à manger à sa chienne. Il lui
sert un peu de son repas dans une assiette qu'il pose au sol à ses pieds. Elle se penche pour attraper la nourriture qui lui est offerte. Un fruit gentiment distribué à la becquée par son Maître,
le repas est terminé.
Le Maître retourne dans la chambre en guidant Niche. Et hop ! sur le lit. Tentant d'y enfourner quelques objets ! Il choisit le gode le plus volumineux et l'exploration commence. Son con est prêt
à accueillir ce bel instrument, il est chaud et humide. Elle absorbe tout l'objet en deux temps et trois mouvements.
Ma foi, tu es détendue aujourd'hui je vais tenter une chose inédite pour toi. Sa main mise en cône vient l'explorer. Enconnée que tu vas être ma chienne. Il va et vient, force un peu le passage.
Elle est bousculée... on dirait qu'elle ne sait plus très bien où elle est. Jamais quelqu'un n'a été aussi loin, et puis voilà que la main est engloutie. Il a réussi à forcer le passage en
douceur malgré tout. Il a posé sa main sur elle et maintenant en elle.
Elle lui appartient vraiment. Avec précaution il se retire, lui caresse doucement l'arrière train, la flatte comme une bonne chienne. Ses doigts se font invasifs. Explorent toute son intimité.
Son cul est bon à prendre. Tu seras aussi mon enculée aujourd'hui. Cambre-toi bien et tends-moi ta croupe. Il la prend soudainement sans préparation aucune. Elle geint plaintivement par petits
jappements implorants mais il continue sa pression et force le passage ! Elle a mal mais n'émet aucun son, elle a mal mais se cambre pour permettre à son Maître de prendre ce qui lui appartient.
Elle a mal et appuie pour que son sexe la pénètre au plus profond.
Elle n'a plus mal, elle perçoit le poids de son Maître sur elle, sa force aussi.
Elle est là pour ça, pour le recevoir en elle, qu'il dispose d'elle.
Tout est paisible à présent. Elle est épuisée, et halète en tirant la langue. Le
Maître est satisfait de sa chienne, même si en caressant sa tête il lui dit qu'elle doit encore progresser pour être encore plus chienne.
Marie
Son blog : http://lesemoisdelle.erog.fr/
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